INFORMATIONS OUBLIÉES?

Abonizio sur site

Lucia Abonizio est née à Rosario, Argentine.
Issue d’une famille de musiciens, elle suit des cours de piano à l’Université de musique de sa ville où elle reçoit une formation solide auprès d’Aldo Antognazzi, lui-même élève d’Arturo Benedetti Michelangelli. C’est Paris qu’elle choisit pour continuer son parcours où elle se forme auprès de Jacqueline Bourgès-Maunoury.

Par son métier de pianiste et pédagogue elle transmet la culture musicale argentine et latino-américaine, à travers un répertoire d’un grand potentiel rythmique et mélodique. Professeur, elle est à l’origine du projet Autour du Tango et réalise des Master Class dans plusieurs Conservatoires nationaux de France. Elle est également l’auteur de la méthode Piano-Tango en deux volumes, aux Editions Gérard Billaudot.

Lucía Abonizio a enregistré plusieurs CD dont les derniers sont « Destination Tango » (2014) avec le bandonéniste Gilberto Pereyra et le double album pédagogique « Terres Argentines » (2016) montrant sur ce dernier le dialogue entre la musique du compositeur argentin Alberto Ginastera et la musique traditionnelle argentine. Edités par Ad Vitam Records et Klarthe de Harmonia Mundi.

www.luciaabonizio.com

adolphe_adam sur site_

Adolphe Adam est né en 1803 à Paris2.
Son père, Jean-Louis Adam était un pianiste et compositeur alsacien, professeur de piano au Conservatoire de Paris, sa mère, Élisabeth-Charlotte-Jeanne (dite Élisa) Coste, la fille d’un médecin. Mauvais élève, Adam désertait les cours avec un cancre de la même envergure, Eugène Sue. Après avoir commencé à étudier la musique en cachette de son père, il entra au Conservatoire de Paris en 1817, fut élève de François-Adrien Boieldieu mais n’hésita pas à user de subterfuges pour se faire connaître : il travaillait le soir à l’orchestre du Gymnase, allant jusqu’à reverser ses cachets à ceux qui acceptaient de se faire remplacer et écrivait des chansons et musiques de circonstance pour autrui.
Malgré ces facéties, il acquit assez de métier pour devenir lauréat du second prix de Rome en 1825.

Adolphe Adam choisit la carrière qui conduisait alors le plus sûrement à la renommée et à la fortune : celle de compositeur lyrique. Son maître, Boieldieu, l’orienta vers l’opéra-comique, genre alors en pleine mutation.
En 1834, il connut son premier succès important, avec son opéra-comique Le Chalet, considéré depuis comme le point de départ de l’opérette à la française, et qui influença Offenbach à ses débuts. En 1836, l’opéra-comique Le Postillon de Lonjumeau obtint un succès phénoménal qui gagna l’Europe, même si l’ouvrage se joue de moins en moins aujourd’hui. Peu à peu, la renommée d’Adam s’accrut. Les critiques élogieuses du Brasseur de Preston parvinrent aux oreilles du tsar Nicolas Ier et Adam gagna Saint-Pétersbourg en 1839, où il fut accueilli par son propre ballet La Fille du Danube. Il composa alors un nouveau ballet, L’Écumeur des mers (Morskoï Rasbonick). Considéré comme le digne successeur de Boieldieu, qui fut maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, il se vit proposer la même fonction, mais la déclina.

Il composa une Marche funèbre pour le retour des cendres de l’empereur Napoléon Ier et leur inhumation aux Invalides le 15 décembre 1840. 1841 vit la naissance du succès le plus durable d’Adolphe Adam, son ballet Giselle ou les Wilis, sur un livret de Théophile Gautier, inspiré d’un poème extrait de De l’Allemagne de Heinrich Heine….

La suite sur Wikipedia…

Agricola sur site

Alexandre (en français) ou Alexander Agricola (en latin) ou Ackerman (en néerlandais) est un compositeur, issu d’une famille patricienne gantoise, probablement né à Gand en 1445 ou 1446 et mort à Valladolid en Castille le 15 août .

Source : Wikipedia

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Isaac Manuel Francisco Albéniz y Pascual, né le 29 mai 1860 à Camprodon (Province de Gérone, Espagne) et mort le 18 mai 1909 à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques, France), est un pianiste et compositeur espagnol.
Il est particulièrement renommé pour ses œuvres pour piano inspirées de la musique folklorique espagnole. Francisco Tárrega et Miguel Llobet (pour ne citer qu’eux) ont transcrit pour la guitare un grand nombre de ses pièces. Ces transcriptions participent aujourd’hui grandement à la renommée d’Albéniz.

Source : Wikipédia

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C’est un violoniste et un maître de chant renommé, mais on ignore quelle a été sa formation (certains musicologues avancent le nom de Legrenzi).Issu d’une famille très aisée — des marchands de papier —, Albinoni peut se consacrer à la musique sans crainte de soucis financiers. Il se qualifie lui-même de dilettante veneto.

En tant que fils aîné, son père le destine à reprendre les intérêts de l’entreprise familiale. Cependant, après la mort de celui-ci en 1709, Tomaso abandonne la responsabilité de l’entreprise à ses deux frères cadets, et se consacre uniquement à la musique, se qualifiant cette fois de musico di violino.

Il épouse la cantatrice d’opéras Margherita Raimondi, décédée en 1721. À partir de 1741, dix ans avant sa mort, il n’existe plus aucun document le concernant — peut-être à cause d’une maladie.Bach s’est intéressé à ses compositions, et lui a même emprunté des thèmes musicaux. Il laissait aussi réaliser par ses élèves des partitions d’Albinoni ne contenant que la basse chiffrée.

(Source wikipédia) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tomaso_Albinoni

Anonyme

Richard Allison (born c. 1560–1570 – died before 1610) was an English composer. He wrote de la Tromba, a fine broken consort piece which has several professional recordings and first became well known due to the Julian Bream Consort.

He was known to be in the service of the Countess of Warwick in 1599, and then working for Sir John Scudamore. His publications are: The Psalms of David in Meter (1599) and An Hour’s Recreation in musicke, apt for instruments and voyces (1606). His work also appears in Michael East’s and Thomas Ravenscroft’s psalters, and Thomas Morley’s broken consort publication.

He referred in the dedication of his Psalmes to the late Ambrose Dudley, 3rd Earl of Warwick as ‘my good Lord and Master’. Allison is represented by thirteen compositions in a set of consort books (dated 1588), from the household of Sir Francis Walsingham. Ten four-part settings by him appeared in East’s Whole Booke of Psalms (1592), and he contributed a dedicatory poem to Giles Farnaby’s Canzonets to Fowre Voyces (1598).[1]

In 1599, he published his own Psalmes of David in Meter, giving his London address as Dukes Place, near Aldgate, and describing himself as a ‘gentleman’ and a ‘practitioner’ of music. This print also includes his coat of arms, providing much information about his family. In the same year, seven of his instrumental works appeared without attribution in Morley’s First Booke of Consort Lessons (claims that Allison may have been the ‘gentleman’ who financed the publication remain unsubstantiated and seem improbable).

In 1606, he published An Howres Recreation in Musicke, acknowledging Sir John Scudamore (of Holme Lacy, near Hereford) as his patron. He is not heard of again, and may well have been dead by the time of Philip Rosseter’s Lessens for Consort (1609) which includes four of his compositions, together with the information that most of the contents are by composers ‘whose memorie only remaines’.

source : Wikipedia

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Diego de Alvarado
Compositeur portuguais (1570-1643)

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Johann Anton André (né le 6 octobre 1775 à Offenbach-sur-le-Main où il est décédé le 6 avril 1842) est un éditeur de musique et compositeur allemand.

En 1799, André acquiert des manuscrits de Mozart auprès de sa veuve Constance Mozart et les rapporte dans sa ville natale. Ces manuscrits autographes comportent plus de 270 œuvres dont les opéras Le nozze di Figaro, La Flûte enchanté, des quatuors à cordes, des quintettes, des concertos pour piano ainsi que la pièce intitulée Une petite musique de nuit. À partir de ces manuscrits, la maison fondée en 1774 par le père d'André, Johann André (1741-1799), toujours détenue par ses descendants aujourd'hui, publie pour la première fois de nombreuses partitions du compositeur salzbourgeois. Le succès de la maison d'édition repose notamment sur la rencontre d'André avec Alois Senefelder, l'inventeur de la lithographie. Senefelder accepte de collaborer avec André et lui accorde le droit d'utiliser sa technique pour la première fois en 1800 pour le propre opéra d'André, Die Weiber von Weinsberg. En 1839, André laisse les rênes de la maison d'édition à son fils Johann August André (1817-1887).

André a composé des opéras, des symphonies, des messes, des lieder ainsi qu'un traité inachevé sur l'art de la composition, Lehrbuch der Tonsetzkunst en deux volumes.

Source : Wikipédia

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Andre-Forner : Compositeur, élève de John-Richard Lowry et de Daniel-Lesur. Co-directeur artistique du CAR, Collectif Artistique de Rencontre LYRIQUE. Directeur d’ensembles vocaux et instrumentaux musique ancienne, baroque, classique, contemporaine, Coordinateur pédagogique, il crée une méthodologie de la pédagogie musicale en milieu scolaire.
Metteur en scène, il enseigne la technique vocale et scénique. Chanteur baryton, il interprète la musique ancienne. Durant 20 ans en tant qu’artiste, chargé de mission « développement social et culturel » sur la Presqu’île de Rhuys et le Pays de Vannes, il réalise de nombreux spectacles scéniques musicaux (comédies musicales, cabarets, opéras) avec chœurs et orchestres réunissant professionnels, élèves et population.
Il crée et dirige plusieurs festivals à rayonnement régional et plus, intégrant académies instrumentales, stages de chant choral, concerts à thèmes…
Andre-Forner, aujourd’hui, se consacre à la composition dans le pur plaisir de créer avec liberté une musique intemporelle d’aujourd’hui et d’offrir le pur plaisir de jouer ou d’écouter ce monde sensible.

 

Site web : https://andre-forner.fr/

Anonyme

Compositeur anonyme

Anthiome

Eugène-Jean-Baptiste Anthiome (* à Lorient; † à Versailles) était un compositeur français.

Anthiome étudia au Conservatoire de Paris l’Harmonie avec Antoine Elwart, l’orgue avec François Benoist et la composition avec Michele Carafa. En 1861 il remporta le Second Grand Prix de Rome avec sa cantate Atala. À partir de 1863 il enseigna au Conservatoire ; plus tard il y fut nommé professeur de piano, poste qu’il conserva jusqu’en 1901. En 1889 il eut Maurice Ravel comme élève, en classe préparatoire de piano.

Anthiome écrivit nombre de pièces pour piano, des opérettes ainsi que des mélodies. Il écrivit aussi une méthode de piano (L’Art du piano, méthode pour les commençants, Paris 1880).

Source : Wikipedia

arcadelt

Jacques Arcadelt [Archadelt, Arcadet] (né le à Namur, mort le ) est un chanteur et un compositeur de l’école franco-flamande, surtout actif à Florence, Rome et Paris. Sa riche production touche toutes les formes de musique en usage à son époque, avec une emphase particulière pour le madrigal et la chanson.

Jacques Arcadelt est baptisé le à Namur1. Il est fils de Gérard Fayl dele Arche d’Elte, un maître de forge et fabriquant d’armes à Haltinne, un peu à l’est de Namur.

En 1515, il apparaît parmi les enfants instruits par Alexandre de Clèves, maître d’école de la collégiale Saint-Pierre-au-Château2 parmi lesquels se trouve également Pierre Certon. Cette même année il est récompensé avec d’autres chanteurs pour deux manifestations organisées par la ville.

Il est encore repéré de 1516 à 1519 – toujours sous le nom de Jacobus de Arca d’Elta – comme enfant de chœur à la collégiale Saint-Aubain, sous la direction de maître Lambert Masson3 puis de 1519 à 1524 chez le maître Charles de Nicquet, maître de la grande école4, et repéré encore en décembre 1526, lors de festivités offertes pour célébrer une victoire militaire. Peut-être a-t-il profité des relations internationales de son père, qui traitait avec des acheteurs d’armes ; peut-être a-t-il été repéré et emmené par un noble ou un notable qui souhaitait s’attacher ses services ; toujours est-il qu’il part en Italie, peu après ses 19 ans….

Source : Wikipedia

Aribert sur site

Né en 1981, Damien ARIBERT commence à étudier la guitare classique à l’âge de 7 ans avec Evelyne Lacheret puis Brigitte Repiton. Il entre, en 2000, à ENMD de Romans sur Isère dans la classe de Gilles Gogniat où il obtient le DEM. De 2004 à 2006, il se perfectionne auprès d’Emmanuel Rossfelder (Victoires de la musique classique 2004, héritier de la technique d’Alexandre Lagoya) et devient titulaire en 2008 du Diplôme d’Etat de professeur de guitare classique.Il se produit sur la scène de nombreux festivals réputés (Festival « C’est pas classique » de Nice, Le Festival Des Vents à Morières Les Avignon…), scène qu’il lui arrive de partager avec des artistes de qualité comme Per-Olov Kindgren, guitariste Suédois de renommée internationale.

Damien Aribert a enregistré son CD « Destinations » en 2014  au Studio « La Buissonne », reconnu entre autres pour ses qualités acoustiques.En avril 2017, il a remporté le 1er Prix du Concours International InterArtia, dans la catégorie «Guitare classique».Il enseigne la guitare classique à l’Ecole de Musique Intercommunale d’Avranches-Mont Saint Michel, et joue sur les guitares du Luthier Vauclusien Renaud Galabert.

Born in 1981, Damien ARIBERT started his classical guitar studies at the age of 7, first with Evelyne Lacheret and later on with Brigitte Repiton. In 2000, he entered the ENMD in Romans sur Isère, in the class of Gilles Gogniat, where he obtained his degree DEM.. From 2004 to 2006, he studied with Emmanuel Rossfelder (the winner of the ‘Victoires de la Musique Classique’ in 2004 and a former pupil of Alexandre Lagoya), and obtained in 2008 his classical guitar teaching state diploma.He played at various famous festivals, which resulted in musical meetings with high quality artists like Per-Olov Kindgren, a Swedish guitarist with international fame.

Damien Aribert recorded his CD ‘Destinations’ in 2014 at the internationally renowned studio ‘La Buissonne’ reputed for acoustic qualities. In April 2017, he won the 1st Prize in the International Competition InterArtia, in the category ‘Classical guitar’. He currently teaches classical guitar at the music school of Avranches-Mont Saint Michel (France) and plays on hand-crafted concert guitars made by the French luthier Renaud Galabert.

 

https://www.damienaribert.com/

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Felix Arndt était un pianiste et compositeur américain de musique ragtime. Il composa « Nola » en 1916, considéré comme le premier morceau de novelty piano au sein du genre ragtime. Un style complexe et destiné aux prouesses pianistiques. Il décéda de la pandémie mondiale de la grippe de 1918 à seulement 29 ans, à New York.

Source: WIKIPEDIA

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Colombe Arnulf commence sa formation de flûtiste en 1995 dans le Nord de l’Yonne, pour la poursuivre à partir de 2001 à l’Ecole Nationale de musique d’Auxerre, ou elle suit parallèlement des études de direction d’orchestre.
A partir de 2006, elle perfectionne sa formation instrumentale à Paris et obtient son DEM instrumental en 2010 au Conservatoire de Ville d’Avray dans la classe de Patrice Bocquillon. Elle suit parallèlement les enseignements de musicologie en Master à la Sorbonne Paris IV. Elle a reçu le soutien de l’ADDIM ’89 afin de proposer des concerts en soliste et avec le Duo Tropos (flûte/clarinette). Elle a mené, en collaboration avec le Conservatoire d’Auxerre, plusieurs actions de découverte musicale en faveur des élèves élémentaires et primaires auxerrois.

L’engagement artistique de cette jeune instrumentiste passionnée l’amène à se rendre dans des lieux insolites comme les prisons ou les usines afin d’apporter un rayonnement musical à ces établissements et de contribuer à la diffusion de la musique classique de manière originale dans ces endroits peu visités. Elle a pu notamment se concerter en duo lors du festival de Brienon-sur-Armançon, ainsi que pour un réseau d’associations caritatives variées. De plus, les liens qu’elle a pu établir avec le musée Abbaye Saint-Germain d’Auxerre lui ont permis une programmation de six concerts en 2007 dans le magnifique cadre bourguignon.

En 2007, elle a pu participer à la création du Requiem à la mémoire de Vauban du compositeur Enguerrand-Friedrich Lühl, ce dernier étant chargé de la partie musicale des festivités ‘VAUBAN-2007′ à l’échelle nationale dans le cadre du tricentenaire de la mort du grand Maréchal de France. Cette commémoration a eu pour objet d’organiser, par le biais de l’association nationale Vauban, présidée par Alain Monferrand, une série de manifestations culturelles, historiques et touristiques autour des 120 sites fortifiés du Maréchal. L’association a pour cette occasion commandé à son compositeur 6 œuvres parmi lesquelles se trouve une Suite Royale en quatre mouvements pour corde seule, dont le compositeur a dédié à Colombe Arnulf une version pour flûte seule.

Par ailleurs, et depuis 2008, Colombe Arnulf-Kempcke dirige l’Ensemble de Flûtes de l’Université Paris-Sorbonne, ensemble qu’elle a fondé et qui lui a permis de créer une de ses compositions : Franmixa, op.1 pour quatuor de flûtes. Par ailleurs, l’année de la Russie en France en 2010 a été l’occasion exceptionnelle d’un concert mêlant orchestre de balalaïkas et ensemble de flûtes à l’amphithéâtre Binet de l’Université Paris-Descartes.

Enfin, son intérêt pour la composition l’a amené à suivre le cursus d’écriture encadré par Isabelle Duha au Conservatoire d’Issy-les-Moulineaux et  lui a permis de voir créer ses oeuvres Matin 26 op. 2 et Osmose, Op.3  pour flûte traversière et clarinette dans le cadre des auditions et examens de fin d’année de la classe de musique de chambre du Conservatoire de Ville d’Avray en 2010.

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Johann Sebastian Bach (31 mars[1] 1685 – 28 juillet 1750), en français Jean-Sébastien Bach, est un compositeur, claveciniste, violoniste, altiste et organiste allemand.

Compositeur de l’époque baroque dont il symbolise aujourd’hui l’apogée, son influence est majeure et durable dans le développement de la musique occidentale. De grands compositeurs, tels que Mozart, Beethoven, Berlioz, Brahms, Wagner, etc., reconnaissent en lui un maître insurpassable. C’est un musicien complet qui maîtrise la facture des instruments, la technique instrumentale, la composition, l’improvisation, la pédagogie, et la gestion d’une institution musicale.
Localement connu de son vivant comme organiste et improvisateur, sa musique est rapidement oubliée après son décès, car passée de mode. À de rares exceptions près, son œuvre est manuscrite et non publiée. Dispersée et en partie perdue, elle est redécouverte et étudiée par les romantiques…

(source Wikipédia) https://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Sebastian_Bach

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Wilhelm Friedemann Bach (né à Weimar le 22 novembre 1710, décédé le 1er juillet 1784 à Berlin) fut un musicien allemand de la famille Bach.

Il fut surnommé le Bach de Halle. Wilhelm Friedemann Bach était le premier fils de Johann Sebastian Bach et de sa première épouse, Maria Barbara.

Il passe, d’après tous les témoignages contemporains, pour le plus doué des fils du grand compositeur ; malgré ses remarquables dispositions musicales — contrapuntiste, organiste et improvisateur accompli — c’est aussi parmi les quatre frères musiciens celui qui eut le moins de réussite dans sa carrière…

(source Wikipédia) https://fr.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_Friedemann_Bach

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Yves Balaguer a obtenu un 1er Prix de Percussion et de Musique d’Ensemble au CRR de Boulogne-Billancourt.Il est également titulaire du Diplôme d’état de Percussion et enseigne actuellement au Conservatoire Municipal de Musique d’Ozoir-la-Ferrière.

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Né de parents peu fortunés, Mili Balakirev est attiré dès l’enfance par la musique mais ne disposant que de très peu de ressources matérielles, il ne pourra prendre en tout que dix leçons de piano auprès d’un remarquable professeur, Alexandre Dubuque (Dubuc).
Il fait ses études à l’université impériale de Kazan. À seize ans, il fait la connaissance d’Alexandre Oulybychev, riche mélomane auteur de la première biographie de Wolfgang Amadeus Mozart qui dispose d’un orchestre réduit. Il confie à Balakirev des travaux de copie, d’arrangements puis finalement la direction de son orchestre.
De manière purement empirique mais avec beaucoup de facilité, le jeune musicien parvient à acquérir les bases de son futur métier de compositeur. Il dissèque les partitions des grands maîtres, les étudie minutieusement.
En 1855, il aura l’occasion de rencontrer Mikhaïl Glinka, grand musicien précurseur de la musique classique russe. Sa vocation est alors toute tracée…

Baleton sur site

Membre de l’Orchestre Philharmonique de Radio France depuis 2003, Cyril Baleton a commencé le violon à l’âge de 6 ans au conservatoire de Nîmes dans la classe de Jacques Nottelet puis d’Elisabeth Degrenand.

 

En 1998, il obtient une Médaille d’or, le premier prix de musique de chambre, le Diplôme d’études musicales attribué à l’unanimité ainsi que le Grand Prix de la ville de Nîmes.

Il a travaillé avec Gérard Jarry et Roland Daugareil, professeurs au CNSM de Paris, puis Christophe Poiget au CNR de Boulogne-Billancourt où il a obtenu un premier prix de violon en juin 2001. Il intègre ensuite le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d’Olivier Charlier, où il obtient trois ans plus tard un premier prix de violon avec mention « très bien à l’unanimité ». Il se perfectionne en musique de chambre au CNSMDP au sein de plusieurs formations : quatuor, trio avec piano et sonate, auprès de Pierre-Laurent Aimard et Daria Hovora.

 

Cyril a eu l’occasion de jouer sous la direction de chefs prestigieux tels que Myung-Whun Chung, Pierre Boulez, Mikko Franck, Esa-Pekka Salonen, Daniel Harding… Il se produit régulièrement en soliste, notamment avec l’Orchestre Cinématographique de Paris et l’Orchestre de l’Académie de la Chapelle Royale de Dreux.

Parallèlement, ses activités en CineTrio avec ses deux amis Philippe Barbey-Lallia (piano) et Timothée Oudinot (hautbois) ajoutent une touche ludique et non moins intéressante à cette palpitante vie de musicien d’orchestre.

Cyril joue actuellement un magnifique violon français de 1721 du luthier parisien Jaques Boquay.

 

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